mercredi 15 octobre 2008

"Auto-critiques, encore plus dures"


Au coeur d'une solitude n'importe quelle, une tristesse, un moment... Regarder ta situation. Tu te vois là assise, tu vois te fautes... tes erreurs.
Ton bonheur déclenche à partir de l'aube et mes mains parcourent ton corps malgré mon affirmation quotidien.
On dirait que je suis seul, on dirait que je ne connais pas l'amour mais avais-je senti Ça avant??? Comment tu
peux expliquer que déjà passée presque une année j'arrive pas à t'oublier.
Parfois je pense que je suis un perdeur une personne confinée aux rêves, une victime de mes propres pensées et imaginations.
Je ne habite plus lá, ma tête se promene au bout de la vie mon corps il pourra être ici mais ça fait longtemps que mon âme est chez-toi.
Il me manque tout ce qui t'aperçoit, ton haleine, ton odeur et ton régard sans expression, tes grands yeux bleus et ta petite bouche...
À mon avis tu étais un ange, et tu restes un encore. La relation sublime des rêves et des illutions perdues, l'envie d'être avec ceux qui ne veulent pas. La doute de croire que même si on est bon on gagne pas le droit de aimer.
Tu me manques tellement
La torture s'est finie il y a longtemps...



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